Aéroport Nantes Atlantique

Membre du réseau VINCI Airports depuis 2011 et premier aéroport du Grand Ouest, l’aéroport Nantes Atlantique accueille une vingtaine de compagnies régulières, et propose plus de 80 destinations directes, ainsi que la connexion aux principaux hubs internationaux, pour répondre aux besoins de mobilité des habitants et entreprises du territoire.

En 10 ans, Nantes Atlantique a accueilli deux fois plus de destinations (France, Europe, bassin méditerranéen, mais aussi Canada, Proche Orient, Afrique, Caraïbes), et 2 fois plus de touristes au profit des retombées économiques locales. L’aéroport est également desservi par deux fois plus de compagnies aériennes, ce qui favorise la connectivité du territoire et la démocratisation du transport aérien, et est passé de une à quatre compagnies basées, au bénéfice des emplois locaux.

D’après la dernière étude Utopies (étude en date de 2020, basée sur des données 2019), l’activité aéroportuaire de Nantes Atlantique génère 3 250 emplois directs et 13 250 emplois soutenus dans le seul département de Loire-Atlantique. Elle contribue également au PIB national à hauteur de 1.5 Md€, dont 744 M€ uniquement en Loire-Atlantique.

En 2022, l’aéroport a été récompensé par l’obtention du label S3A pour ses démarches d’accueil de personnes en situation de handicap physique et mental. Nantes Atlantique a également obtenu les standards de certification internationaux ISO 9001 pour son management de la qualité.

Certifié en 2024 « niveau 4 » de l’ACA (Airport Carbon Accreditation) et ISO 14001, l’aéroport Nantes Atlantique se développe au sein de son territoire en s’engageant pour la réduction de l’impact environnemental de son activité avec pour objectif d’atteindre notamment « zéro émission nette sur ses activités directes » d’ici 2030.

L’accréditation ACA niveau 4 implique :

• L’élaboration d’une stratégie de décarbonation propre à l’aéroport pour réduire d’au moins 90% ses émissions de gaz à effet de serre (scopes 1 et 2) à l’horizon 2030 (par rapport à 2019)
• La mise en place d’un plan de partenariat pour inciter les tiers à réduire leurs propres émissions que sont les compagnies aériennes, les assistants en escale, les commerces… (dont les émissions sont inclues dans le scope 3) dans une démarche globale de décarbonation.